Les mots qui tourbillonnent
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Date de création : 25.07.2015
Dernière mise à jour :
27.01.2025
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MOI



Il paraît que c'est dans la douleur ou le bonheur ultime qu'on écrit le mieux... Alors les écrivains sont-ils tous des dépressifs anxieux qui grâce à leurs plumes font fuir tous leurs démons. Ou alors sont-ils des idéalistes qui ont fait l'ascension, ayant réussi à se séparer de leurs corps et des détails sordides de leurs petites vies insipides, trouvant ainsi l'éclat d'une vie céleste.
Non, ils sont comme nous tous, voguant au gré de leurs émotions du moment et transfigurant un moment de leur vie en une épopée fantastique. J'aimerai pouvoir en faire autant et décrire cette épopée qui m'a rendue joyeuse, triste, épanouie, frustrée... Ils sont trop nombreux pour que je les décrive tous.
Est-ce cela être amoureuse ? Oui sans nul doute. On aime tellement de choses dans la vie, mais parfois on aime juste un peu plus et lorsque l'espoir se transforme en désespoir, alors on se dit qu'il faut aimer moins, qu'il faut arriver à passer outre et se retrouver soi-même. Mais c'est tellement dur qu'on a l'impression de traverser une tempête qui à chaque moment de la journée vous transperce de sa fureur.
Oh comme j'aimerai être plus jeune et avoir l'insouciance d'une dizaine d'années en moins. Alors tout serait possible ou pas, mais il y a aurait eu un petit possible. Mais en fin de compte, rien n'est possible, n'est-ce pas ? Car tu finiras par lire ses mots. Tu me connais trop bien pour ne pas le faire. Tu sais que c'est mon refuge, là où je vais quand je suis perdue.
Et ce satané GIF n'aurait jamais du exister. Il est synonyme d'espoir, mais l'espoir n'existe pas.. n'est-ce pas ?
J'ai cru pouvoir retenir mes larmes, mais non, elles sont là, tellement libératrices.
Alors je vais continuer mon chemin comme je l'ai toujours fait en étant un peu plus écorchée que d'habitude, mais soit, ainsi va la vie...
C'est celui qui te surprend, comme ça, sans crier gare. Il arrive n'importe quand et n'importe où. C'est un peu comme une drogue, une addiction qui s'insinue en toi petit à petit et qui ne veut pas s'en aller.
Le premier jour, tu n'y prêtes aucune attention. Il y a comme un relent qui parfois te submerge, un peu comme une vague qui arrive, puis qui repart laissant le sable immaculé. Alors, tu reprends ton souffle en te disant que tu as réussi. Tu as franchi le gouffre de la douleur avec beaucoup d'aise. Et tu te dis, que demain ce sera pareil.
Mais le deuxième jour arrive et la douleur devient plus forte. Elle t'emprisonne, car elle est insidieuse. Oh oui, elle sait y faire avec les êtres humains. Elle les manipule comme elle veut au gré de ses envies. Et toi, bêtement, tu la subis, car tu as oublié de sectoriser. Tu as oublié au fond de toi, de créer des petites boites où tu pouvais ranger toutes ces douleurs et les enfermer à double tour. Alors, tu subis une fois de plus, encore et encore.
Maintes fois, tu t'es relevée. L'espoir n'est que cela et rien de plus. Alors il faut laisser s'envoler les oiseaux et ne pas les enfermer pour qu'ils trouvent enfin ce qu'ils désirent le plus au monde.
Alors envole-toi et trouves ton bonheur.
Le mien a été de te rencontrer.
Ces derniers jours, je t'ai cherché partout, dans les moindres recoins de ma vie et de ma mémoire. J'ai creusé si profondément au fond de mon âme que j'ai failli me perdre. Le temps s'est arrêté, me laissant pantelante et si perdue que je n'ai su quoi faire. J'ai regardé partout autour de moi, virevoltante si fort que j'en avais le tournis. J'ai crié si fort après toi ; tu m'avais abandonné. Pourquoi ? Au moment où j'avais le plus besoin de toi, tu m'as laissé tomber. Tu m'as laissé m'effondrer, seule au monde.
Puis, je me suis rappelée. Je le savais depuis le début que tu n'étais pas loin. Tu étais à la surface, tout près de moi, me protégeant et attendant mon appel. Mais je n'avais pas su t'alerter à temps. Alors, il t'a fallu un peu de temps pour me rejoindre. Heureusement, je n'ai pas attendu très longtemps. Tu es apparu, apportant ton soutien à mon corps en peine. Tu m'as soutenu, le temps que je reprenne mes esprits, empêchant quiconque de m'approcher. Tu as reforgé mes liens brisés. Tu m'as aidé à retrouver mes repères et à reprendre mes habitudes. Tu as reconstruit mon chemin avec patience et amour.
Et je t'ai retrouvé pleine et entière, ma motivation...
Toi, mon amour, tu m'as réveillé de mon sommeil, celui que j'ai mis du temps à mettre en place. Je l'ai construit de mes mains et mon corps a mis du temps à l'accepter. Il m'a fallu tant d'années pour arriver à cette paix interne que parfois, j'oublie le souvenir de ce qui était avant. Durant ces années de combat intérieur, j'ai vécu mille morts et souffert mille désirs. Puis, petit à petit, les souvenirs se sont éteints, surtout les mauvais et j'ai retrouvé le gout d'être. J'avais mis en place de petites habitudes, celles qui nous permettent d'oublier et celles qui nous rassurent. Elles étaient parfaitement et rigoureusement ancrée dans ma vie de tous les jours. Et je n'ai jamais dérogé.
Et tu es arrivé, faisant explosé en mille morceaux cette paix intérieure, comme si toutes ces années n'avaient servi à rien. Chaque minute, chaque heure passée réveillait petit à petit la petite étincelle au fond de mes yeux. Elle est devenue brillante avec les mois qui ont passé, parfois à tel point qu'elle me rendit aveugle à certains moments. Je ne peux pas m'aveugler. Ma vision doit rester claire pour que je puisse continuer ma route avec aisance. C'est ma force, au prix d'énormes sacrifices. Je me suis sacrifiée pour rester celle qui un jour a décidé qu'être libre pour une femme était sans doute la meilleure chose à faire.
Je ne suis pas voyante et je ne saurai jamais si j'ai pris la bonne décision. Peut-être qu'avec les années je regretterai mes choix ou peut-être pas. Mais c'est la route que j'ai choisi et j'en suis très fière. Nous sommes tellement nombreuses à ne pas avoir eu ce choix, obligée de rester et de continuer à vivre une vie si triste, faite de faux semblants, d'hypocrisie, de mensonges en tout genre et pour certaines de violence verbales ou physiques. J'ai saisi ma chance et j'ai tout gagné : la reconnaissance, la fierté d'un métier à risque, l'indépendance, la liberté d'être ce que je suis et non celle que les autres veulent que je sois....
J'ai découvert un autre monde sur lequel je me suis penchée si fort qu'il a failli me renverser. C'était il y a quelques mois. J'appréhendais sa découverte, mais la tentation fut la plus forte et je me laissais entrainer bon gré mal gré par mes compagnons d'infortune. Ils ont guidé mes premiers pas et mes premiers gestes, me soutenant dans mes efforts. Mais ils savaient aussi bien que moi que cela ne serait que de courte durée et que je finirai par prendre mon envol très rapidement.
Et c'est ainsi que j'ai commencé patiemment et durement à apprivoiser chaque machine, les observant minutieusement au départ et les auscultant de toute part. Il est vrai que d'un premier abord, ce n'était pas gagné par avance. Les premières que j'ai investies étaient sans doute les moins complexes et les plus faciles à manipuler. Foutues machines. Certaines m'ont donné du fil à retordre.
Et un jour, je me suis lancée à coeur perdu, comme d'habitude, pour tout ce que je fais au risque de me blesser. Mais soit, les blessures sont minimes et n'ont pas entrainer de conséquences éternelles. Les premières minutes, les premières heures ont été si éprouvantes que j'avais l'impression que je n'arriverai jamais au bout. La douleur se propageait à travers mon corps sans me laisser aucun répit. Chaque jour, je ressentais les effets du manque de ces dernières années. Et chaque jour, j'y retournais.
L'être humain aime souffrir. Il aime se convaincre qu'il peut tout faire et tout affronter. Il n'en a jamais assez. Et qui que nous soyons, nous sommes tous des êtres Addict. Une fois qu'on y a gouté, on ne peut revenir en arrière. On y retourne encore et encore ; notre corps réclamant sa dose, tel un drogué. On se rend compte qu'on ne peut s'arrêter et qu'on est devenu complètement accro, attendant avec impatience la prochaine séance qui va nous gonfler à l'adrénaline.
Et les efforts finissent par payer, tout doucement. Le rythme s'habitue et notre coeur s'emballe un peu moins chaque jour. On accélère les mouvements, qui deviennent au fur et à mesure plus amples et plus harmonieux. L'euphorie devient constante et on se dit qu'on devient meilleur et plus beau. On prend de l'assurance avec l'impression qu'on devient les maitres du monde.
Les miroirs qui nous entourent nous font prendre conscience qu'on peut toujours s'améliorer. Il suffit de la vouloir et de l'aimer...
J'avais envie de laisser la page blanche, car à dire vrai, notre histoire n'existe pas vraiment. Elle n'est que le fruit de notre imagination à tous les deux. Et nos imaginations sont débordantes, à tel point qu'elles ont rempli un vide chez moi que j'aurai préféré ne pas combler. A force de remplir et de remplir encore et encore, le pot, le vase, la cruche (je crois que j'en suis une...) a forcément fini par déborder.
Et je déteste nettoyer derrière, car non seulement, c'est fatiguant, mais en plus, il reste toujours des traces qu'on ne peut effacer. Mais si c'était à refaire, je ne changerai rien. Non, je ne changerai rien, car c'était très beau. On a partagé des moments rares, enfin, c'est mon sentiment, mais peut-être ne suis-je en fin de compte qu'une cruche d'avoir cru à ces moments là.
Ou peut-être pas. Peut-être n'est-ce qu'un jeu où je suis particulièrement douée. Je souffle le chaud et le froid pour ainsi te piéger dans ma toile, telle l'araignée installée au centre de sa toile et attendant patiemment qu'un mâle arrive et se fasse prendre. Et telle Nephila, je te dévorerai tout cru....
Notre rencontre ne se fera donc pas. C'était une curieuse idée auquel je n'aurai même pas du penser. Je me suis laissée emporter par un enthousiasme exagéré. C'est mon optimisme naturel, mon positivisme exacerbé, ma naïveté bon enfant qui font que j'aime me bercer de doux rêves. C'est l'imaginative, la créative qui parlait ou encore la curieuse éternelle....
FU
C'est un moment éphémère, de ceux qui passent si vite qu'on a l'impression qu'ils n'ont jamais existé. Pourtant, ils sont bien là, ces petits moments éphémères où on a juste l'impression d'être heureux. Mais le doute finit toujours par ressurgir. Il arrive, violent, s'agrippant de ces griffes et ne lâchant rien. Il s'insinue brutalement, te réveillant de ce petit rêve joyeux. Alors, tu ouvres les yeux te rendant compte enfin qu'il faut un moment ou un autre mettre fin à ce petit interlude.
Le choix est difficile et il est si facile de se laisser bercer d'illusions qu'on finit par moment par y croire. Mais ce ne sont que des illusions et s'ils faut prendre le taureau par les cornes, alors je n'hésiterai pas. J'ai toujours tranché dans le vif et le jour, où j'aurai réellement le courage et la volonté, je pourrai en finir et retrouver ma liberté, ma vraie liberté.
Et si pour l'instant, mes faiblesses ont pris le dessus sur ma raison. Je sais que le moment viendra où je retrouverai toute ma tête. En attendant, je patiente, coupant les fils auxquels je me suis attachée, trop attachée. Chaque morceau que je coupe, m'arrache toujours un peu plus de mon coeur. Mais s'il faut en passer par là, soit. Il en sera donc ainsi....
La nuit est venue. Je vois encore au loin une légère bande de bleu s'accrochant avec désespoir, croyant sans doute vaincre la nuit. On ne peut la vaincre. Sa noirceur envahit tout. Les quelques lumières disséminés un peu partout ont beau essayé de l'éloigner et de la faire fuir, elle s'avance à grand pas recouvrant tout sur son passage. Elle est comme une vague gigantesque qui avale tout, bâtiments et humains.
C'est l'heure de dormir pour les guerriers, ceux qui vont partir de bonne heure, affronter le monde et sauver les misérables. Demain, ils feront briller leurs épées, revêtiront leurs armures et prépareront leurs montures. Ils seront prêts au combat, la croix pendu à leur cou, le tissu de leur bien aimé noué autour du poignet. Ils partiront pour protéger leur territoire et certains reviendront, leurs épées baignant dans le sang de leur ennemi, les blessures qui laisseront des cicatrices indélébiles. Ils reviendront l'esprit torturé, marqué au fer rouge des horreurs qu'ils auront vues et qu'ils auront commises au nom d'un dieu, un parmi tant d'autres.
C'est l'heure de dormir pour les femmes qui toute la journée se sont occupées du foyer et des enfants. Elles ont le dos cassé à force de se plier plus bas que terre. Ce n'est pas une bonne époque pour elles. Elles ne sont pas instruites. Elles ne sont pas guerrières. Et beaucoup subissent la violence innée de leurs compagnons saoules qui après le travail des champs sont repassés à la taverne boire quelques bières.
C'est l'heure de dormir pour le seigneur qui du haut de son château fortifié sur une colline soi disante imprenable contemple son royaume. C'est lui qui envoit les guerriers de bon matin combattre les envahisseurs. C'est lui aussi qui réclame son dû aux fermiers et marchands pour la protection qui leur octroie. Ils vivent dans la fange, pieds nus, parfois simplement vêtu de loques informes. Mais toi Seigneur, tes atours sont princiers, ta table est toujours de mise, remplie de victuailles à n'en plus finir. Tu as mal vieilli. La goutte te fait souffrir et ton ventre est devenu tellement gros que tu ne vois même plus le bout de tes orteils.
C'est l'heure de dormir et demain, comme on dit est un autre jour.
Demain, le seigneur surveillera le retour de ses guerriers pendant que les femmes surveilleront leurs progénitures, pendant que les fermiers surveilleront leurs plantations priant Dieu que le ciel leur soit favorable.
Et demain, que ferons-nous ? Vaste débat....
Désert 24
Ce matin, la brume envahissait la Meuse et sa Vallée. Le brouillard se propageait au delà des champs, et le froid mordant s'insinuait au travers de la doudoune, pourtant si chaude. Mais loin, à l'horizon, le soleil pointait ses premiers rayons de soleil. Le ciel, qu'on entrevoyait par moment se colorait de bleu et de rose. C'est très beau. Une journée qui commence ainsi se révèle souvent merveilleuse.
Je descendais la colline comme tous les jours, au milieu des autres, rejoignant l'erg toujours avec autant de plaisir malgré mes nombreuses déconvenues, malgré tous les problèmes qu'il y a à chaque fois à résoudre. Il parait que cela nous rend fort. Je confirme....! La force est en nous.
Et plus je descendais, et plus je rejoignais la brume printanière. Mais arrivé tout en bas, on ne pouvait pas ne pas le voir. Le panache est de retour et en ce jour, il était rose, simple effet des rayons de soleil qui se réverbérais dessus. Cela faisait plus d'un an qu'il n'était pas apparu, en espérant qu'il dure....
C'était un grand jour, aujourd'hui. Notre nouveau chef venait prendre ses marques et se présenter. C'est dommage, j'appréciais l'ancien. Il va me manquer. Le nouveau est connu, car tout le monde se connait dans ce petit milieu si particulier. Mais c'est quand même la peur au ventre, que je l'ai regardé discrètement. Dans quel casserole va-t-il nous faire cuire ? On se le demande. On est accroché aux décisions annuelles d'une seule personne qui du jour au lendemain peut nous faire basculer du coté obscur et nous remplacer sans crier gare. Cela fait peur.
Bah, on verra bien... au pire, je recommencerai de 0, comme d'habitude...
Désert 25
Comme quoi, un jour n'est pas l'autre. Hier, j'avais l'impression que le ciel allait me tomber sur la tête. Et aujourd'hui, il est béni par les dieux. Il faut dire que cela fait un bien fou au moral. En rentrant dans le groupe auquel j'appartiens aujourd'hui, je m'étais posée énormément de questions. Dans quelle maison de fous étais-je entrer ? Aujourd'hui, je n'en changerai pour rien au monde. En l'espace de quelques heures, j'ai eu le bonheur de me faire interviewer sur mon métier. Et lorsque mon ancien chef de service, très typé asiatique m'a posé la question de savoir ce qu'était une gamme de qualité, il m'a comblé de bonheur. Pouvoir parler de son métier est le privilège d'un petit nombre et très peu peuvent en parler avec enthousiasme comme je l'ai fait. Pour couronner le tout, un de mes chefs a passé son après midi pour le célèbre entretien annuel. On passe notre temps à être à l'écoute des autres qu'on ne se rend plus compte que par moment, on a aussi besoin d'être écouter. Mon métier, mon amour.
Quand t'as pas le moral, balance Aretha...
Quand tu sens que tu perds pied, connecte tes écouteurs...
Quand on t'a fait chier au boulot, monte le son...
Quand tu te dis que les smileys, ben, c'est bien pratique pour ne pas répondre, lance la playlist...
Et balance Aretha, RESPECT !
The Queen of soul est toujours présente.
C'est la soul, le gospel et le rythm and blues à l'état pur.
Elle te monte au cerveau et anesthésie tout. Elle te fait frissonner dans les moindres parties de ton corps. Le rythme est dans les doigts, pianotant trop vite sur le clavier. Le son transperce les tympans, propageant sa chaleur bienfaisante.
THINK ! non justement, tu ne penses plus. La musique est là pour te redonner le sourire et pour te rendre la pêche.
Alors, monte le son...