Oups...

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Date de création : 25.07.2015
Dernière mise à jour : 27.01.2025
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EXTRAITS 8

Publié le 21/02/2022 à 19:52 par lesmotsquitourbillonnent

Hurlements... Rien à voir avec le film !

Publié le 17/10/2016 à 18:17 par memoscaches Tags : moi enfants écran livre vie

 

Il paraît qu'écrire, c'est hurler en silence... C'est joli ! Et tellement bien dit. C'est de Paulo Coelho, un romancier et interprète brésilien qui a écrit L’Alchimiste que je n’ai bien entendu pas lu…. Peut-être un jour, qui sait ? C’est un conte dans tous les cas… et là, les étoiles commencent à briller… dans ma tête. Les contes, ceux qu’on lit bien entendu à ses enfants et dont le souvenir est toujours présent dans notre mémoire tout le long de notre route. J’en lis encore… Des contes slaves, japonais, indonésien… La vie n’est-elle pas un conte ?…. De fées (non….) pour moi, mais aussi pour mes chérubins (et quand on voit leurs yeux brillés, on se dit que rien, ni TV, ni tablette, ni ordinateur ne remplaceront jamais un bon livre de conte de fées….).

Mais écrire, c’est hurler en silence. Alors hurlons… ça fait tellement de bien. Et aux millions de blogs qui existent sur notre très grande toile, on peut voir que des millions de personnes hurlent en silence. Alors peut-être qu’à force d’hurler en silence, peut-être alors, les voix se feront entendre et que le brouhaha s’amplifiera à un point tel qu’on entendra alors ce que dit l’autre, réellement ; alors peut-être changerons-nous la surface du monde… On a le droit de rêver, c’est ce que font les contes de fées… nous faire rêver !

 

2*1

Publié le 15/10/2016 à 15:06 par memoscaches Tags : belle monde homme

Il y a des roses qu’on n’oublie pas et deux pour être précise. Une par an ! J’en ai gardé une. Elle traîne au milieu des DVD. Pourquoi les DVD ? Parce qu’autre part, il n’y a plus de place. Les feuilles ont bruni et ses pétales se sont recroquevillés, perdant de leur belle couleur d’origine. Mais je la garde précieusement, car ce sont les deux seules deux roses que j’ai reçues depuis 3 ans, au moins ! La première, j’avoue ne pas me rappeler où elle est passée. Mais ce n’est pas la seule raison. Elle m’a été offerte par un homme très grand. Et du haut de ses grandes pattes, il avait toujours ce regard un peu lointain des hommes qui ne sont pas abordables. Je l’ai rencontré souvent et même une fois en bord de Meuse faisant son footing et suant à grosses gouttes. Il fait partie des grands hommes, tout du moins dans mon esprit. Il a sans doute été critiqué par certains et adulé par d’autres, comme tout les grands hommes de ce monde. Mais il y avait dans son regard la froideur des actes à prendre, des choix à faire et des décisions prises que face à lui, seule la compassion peut se justifier. C’est donc un p’tit hommage que je lui rends aujourd’hui, car il est parti, remplacé par un plus petit, mais sans doute aussi compétent. Il est facile de critiquer les choix des autres ; il est plus difficile d’essayer de se mettre à leur place. Depuis son départ, l’air est devenu électrique et le courant est sous haute voltage. Dans les couloirs, j’ai parfois l’impression que les personnes marchent plus vite. Il y a comme un dynamisme qui se faufile, frôlant tout le monde sur son passage. On tranche dans le vif. Les forces se regroupent. Il parait que tout changement est bénéfique...

 

Comment se faire plaisir...

Publié le 08/10/2016 à 09:23 par memoscaches

...

http://www.fmedda.com/en/home

http://www.nuagesdemots.fr/

 

Une de plus....

Publié le 01/10/2016 à 09:19 par memoscaches Tags : pouvoir vie homme nuit enfant rose livres collectionroman

Je suis une collectionneuse, une grande collectionneuse et ce depuis toute petite... J'ai d'abord collectionné les poupées Barbie et mon grand père italien, ce brave homme, ouvrier à la Chiers - cette grande industrie plantée à l'entrée de Vireux-Molhain et dont il ne reste plus rien aujourd'hui - m'avait fabriqué des armoires afin d'y insérer la multitude de vêtements accompagnant ces célèbres poupées. Sa passion était la menuiserie et dans son atelier, les murs étaient couverts à mes yeux d'enfant, d'outils très singuliers. Puis, il y a eu les autocollants que je récupérais un peu partout et que je glissais dans une pochette que j’avais sans doute du voler dans le bureau de mon père. Ensuite, ce fut la bibliothèque rose et verte. Mes murs étaient couverts de livres et ma table de nuit croulait sous leurs poids. De ces livres, de mes livres, il ne reste rien. Je les avais amoureusement rangés dans le grenier familial dans de grosses boites en carton. Mais la nouvelle épouse de mon père, un jour, les a tous balancé, sans m’en avoir parlé au préalable. Les marâtres existent réellement… J’en ai fait l’expérience…. Les citations ont fait également partie de ma vie d’enfant. J’en remplissais des pages et des pages sur mon journal intime, journal qui bien entendu, un jour a disparu, volé sans doute par une super copine d’internat, qui rêvait de s’en approprier. Ah les copines …. On apprend parfois mieux de ces ennemies que de ces plus proches amies….En grandissant, la collectionneuse que j’étais s’est intéressée aux hommes…. Que j’ai collectionné avec acharnement et passion… Et je n’en ai pas honte… Il faut bien que jeunesse se passe et elle s’est passée. Aujourd’hui, j’ai une autre grande collection. Parfois, j’aimerai pouvoir m’en passer et il m’arrive de regretter ce caractère de collectionneuse. Mais soit, c’est ainsi…. C’est ainsi que va la vie. A quelque chose malheur est bon ! Et il suffit de voir le bon côté des choses. Y’a pire….

 

Tout passe par Rungis !

Publié le 25/09/2016 à 19:43 par memoscaches Tags : mode moi chez

Et ben, non, tout ne passe pas par Rungis. C’était vrai par chez nous, il y a longtemps. Et aujourd’hui, je redécouvre avec plaisir les paniers légumes, made in « Chez nous » ! Il en fallu du temps pour que cette mode sudiste remonte dans le Nord. Il est vrai qu’entre le Sud et le Nord, le gouffre est immense… Au travers de ses petits légumes, il y a l’odeur de la terre, de notre terre, celle qui sent le fumier et dont il nous arrive de temps à autre de patauger en plein dedans. Je sens déjà les saveurs de la soupe qui approche à grand pas. L’automne est arrivé ; les arbres me l’ont dit. Leurs feuilles rougeoyantes commencent à tomber. Le ciel nuageux et orangé, le soir venu, s’illumine quelques instants avant de se ternir. Et le rideau de la noirceur, alors tombe subitement. La soupe sera bientôt prête…. Accompagnée de croutons aillés à souhait. C’est le petit moment de pause, celui qu’on apprécie sans soucis. On devrait sans doute manger de la soupe tous les jours… Mais le panier regorge encore de merveilles et demain, ils seront croquants, trempés dans une petite sauce maison. Et je finirai sans doute, à siroter une petite tisane « mince et élancée »…tout en sachant que la seule chose qui aujourd’hui s’élance chez moi, c’est mon estomac….

 

Pieds nus....

Publié le 25/09/2016 à 19:10 par memoscaches Tags : nature livre enfants

J’ai un poète à la maison, un très jeune poète… Et il parle en rimes, malgré lui, sans doute. L’avenir est prometteur…. Et j’ai une bricoleuse également… Avec tout, elle crée à l’infini… Son imagination n’a pas de limites. Le plus petit bout de laine devient une reliure de livre, dont les pages sont griffonnées de part en part. Chaque jour est presque un étonnement qui ne finit jamais. Hier, encore, ils ont découvert un nouveau chemin, un parcours qui se « parcoure » pieds nus. Ah, le bonheur se résume à tellement peu de choses, à tel point, que nous avons cheminé sur les pierres plus d’une fois. C’était un moment de grande découverte pour eux…. Par les pieds… Alors que je voyais certains parents réticents, gardant à leurs pieds leurs éternels chaussures et que même certains empêchaient leurs enfants de découvrir cette nouvelle approche de la nature – mais point si nouvelle que cela, puisqu’à la base, nous marchions tous pieds nus...! – je me suis fait l’immense plaisir d’aller gambader avec eux pieds nus au milieu des grands pins, leurs aiguilles se plantant parfois et nous faisant arracher des petits cris de surprise. Le chemin était parsemé d’obstacles en tout genre pour le plus grand plaisir de mes petits aventuriers. L’eau du ruisseau était fraîche et calmait les brûlures de nos pauvres pieds malmenés par manque d’habitude. C’était une jolie expérience, une de celles que je voulais faire depuis longtemps, mais dont l’opportunité ne s’était pas encore présentée. Voilà qui est fait ! Une expérience de plus, et surtout partagée….

Les sentiers de la perdition...

Publié le 17/09/2016 à 22:19 par memoscaches Tags : histoire voiture moi air bienvenue musique

Je me suis encore une fois perdue.... sur les sentiers de l'histoire et il faut toujours un peu de courage pour aller à la rencontre de ces vieilles pierres et monter sur les plateaux de l'Ardenne.... Il faut traverser les hautes forêts, celles qui sont peuplées des plus beaux gibiers de ce territoire nordique (pour les sudistes....). Le dernier que j'ai aperçu devait faire au moins 60 kg et a failli finir sur ma voiture. Mais soit.... on ne traverse pas les forêts ardennaises sans posséder le don d'anticipation. Je crois même qu'il a plus peur que moi.... Arrivée sur le plateau, il y a ce petit air froid  qui vous effleure, vous rappelant qu'ici le pull est le bienvenue... C'était un moment presque automnal par ses couleurs, par les reflets du soleil qui le soir venu disparaissent si vite. Et c'est avec beaucoup de plaisir que j'ai rejoint l'Etoile. Je me suis aventurée dans ses escaliers et ses tunnels si peu éclairés que le pas en devient hasardeux. Les remparts m'entourent. On se sent insignifiant face à ses murailles construites au temps du roi Soleil, si vieilles et pourtant toujours debout, malgré les épreuves et malgré le temps qui réduit tout en poussière. On aperçoit par endroit les bouches d'aération des bunkers enterrés. Les dunes recouvertes d'herbe redessinent l'ensemble dans une harmonie presque parfaite. Les habitations n’ont pas tout envahie. Elles se sont construites au gré des époques, s’adaptant à l’architecture locale et aux terrains en forme de vague, dont l’objectif était de repousser l’ennemi héréditaire de l’Etat français. Vauban faisait bien les choses et Condé s’y est rendu célèbre. C’est un endroit où il fait bon s’y perdre, aller au gré de ses envies, en revenant sur ses pas, face à un rempart infranchissable, pour retrouver un autre chemin, pour emprunter un autre tunnel. Mais tout à coup, le bruit d’une cornemuse emplie l’air de son cri plaintif. Mes pas s’accélèrent au rythme du bodhran. Le tin whistle, la flûte irlandaise,  égrène quelques notes si claires qu’il faut tendre l’oreille pour couvrir le martèlement du tambour. C’est un jeune groupe, passionné de musique et de la culture nordique (et surtout ardennaise) qui s’est invité un soir automnal dans la ville fortifiée de Rocroy….

 

Pierre qui roule.....

Publié le 13/09/2016 à 18:11 par memoscaches Tags : musique vie fond

J'ai ramassé une pierre, au détour d'un chemin tout cabossé. Elle était blanche, striée d'un peu de gris et aux arêtes aussi coupantes que le fil d'un rasoir. En la saisissant, je me suis écorchée la main et une perle, une seule perle de sang a coulé. A jouer avec le feu, on finit toujours par en subir les conséquences. Je l'ai soupesée, appréciant alors son poids et donc sa force. Elle était si lourde pour une si petite pierre. Du calcaire sans doute, un bon calcaire. Je l'ai gardée longtemps dans ma poche. Elle me rassurait, faisant reculer toutes les peurs et par moment, je la prenais dans ma main, la tenant tellement serrée, que mes doigts en blanchissaient. Et après un virage, la rivière est apparue. De loin, j'avais entendu son cliquetis. Je m'en suis approchée, comme je le fais à chaque fois pour apprécier une fois encore sa musique trépidante. Et là, j'ai pris la pierre au fond de ma poche et l'aie glissé dans ma main entre le pouce et l'index pour faire.... un magnifique ricochet.... Comme quoi dans la vie, il faut s'amuser avec tout et de tout et surtout y prendre du plaisir.

 

Douceur

Publié le 09/09/2016 à 20:55 par memoscaches Tags : fleur livre aime pouvoir vie douceur

J'ai cueilli une fleur en sachant très bien qu'elle finirait pas se flétrir et mourir, mais je l'ai cueillie quand même. J'ai brisé le lien qui la reliait à la terre, coupant net sa racine. Ses pétales de la couleur du soleil reposent entre mes doigts et je la fais délicatement tournoyer dans ma main. Sa douceur m'envahit pour quelques instants. Son parfum accroche mes sens d'une délicate odeur. C'est une jolie fleur, toute simple ; une parmi tant d'autres et il y en a tant. Je ne savais pas laquelle choisir, alors j'ai choisi au hasard. Le hasard fait parfois bien les choses. J'aurai aimé la conserver et l'insérer entre deux pages d'un livre pour la contempler un peu plus tard, pour me rappeler cet instant éphémère. Mais le temps du retour a fané ses pétales dorés. Tristement, ils se sont recroquevillés les uns après les autres, perdant de sa couleur et de son parfum entêtant. Sa magnificience s'en ait allé et son éclat a disparu. Alors, je l'ai laissée partir. Alors, je l'ai laissée s'envoler au vent. Et elle a disparu, ne laissant qu'un peu de douceur et de sérénité.

 

Dune

Publié le 02/09/2016 à 23:08 par memoscaches Tags : moi

J'ai replongé dans la drogue, dans cette drogue dans laquelle je suis tombée toute petite et qui m'a valu des nuits blanches, couvertes parfois frissons et de larmes versées par tant d'émotions. Elle revient régulièrement aux moments de solitude, au moment où pas un bruit ne surgit de l'obscurité. Elle s'insinue petit à petit. Au début, elle n'est qu'une idée qui s'allume, puis elle murit, fouillant dans la mémoire. Des noms apparaissent, des personnages s'animent, des paysages se profilent envahissant peu à peu mon univers. Que vais-je choisir ? Mais le choix est déja fait. Je me précipite devant le mur couvert du bas au plafond d'une multitude de choix et mon regard se fixe sur un nom, un seul nom : Herbert. Je ne l'ai pas comptés, car je connais leur nombre instinctivement. Je sais où est le premier et où se trouve le dernier. Ma main les effleure doucement, sachant d'ors et déjà qu'ils sont mes meilleurs compagnons. Peu les connaissent ou du moins peu de personnes de mon entourage savent qu'ils existent et pourtant.... Ils ne savent pas ce qu'ils ratent ou peut-être le savent-ils et ils s'en foutent. Alors, et avant que le doute s'insinue en moi, je l'arrache sauvagement de son étagère, sur laquelle il prenait la poussière et le blottit contre mon sein. Les pages sont usées, écornées, certaines à moitié arrachées, à force d'avoir été tournées et même jaunies par le temps qui passe. Mais elles ont toujours la même force, la même emprise sur moi. Elles ont une attirance magnétique et une fois qu'on s'est emparé d'un, alors le reste suivra au fil des jours, au fil du temps et jusqu'au bout, jusqu'à la dernière page, même si on connaît la fin, en se disant une fois de plus, qu'on n'a pas tout lu, qu'on a forcément oublié une ou deux phrases et que c'est le bon moment pour les découvrir et les redécouvrir à nouveau....

Une assiette rouge

Publié le 02/09/2016 à 22:44 par memoscaches Tags : rouge photos sourire coeur jardin amour

 

J'ai rendu visite à une.... assiette toute rouge. Pourquoi rouge ? A dire vrai, je n'en ai aucune idée. Surtout que lorsqu'on pénètre dans l'endroit en question, les assiettes ne sont pas rouges.... Au mur, sont accrochées de vieilles photos d'il y a au moins un siècle. Les tables brimbalantes et usées rappellent un peu les vieux bistrots du temps passé. Le plafond est bas comme dans toutes les maisons avoisinnantes ; ces maisons basses, construites ainsi, pour garder la chaleur de l'âtre et dont l'odeur de fumée s'insinue dans les moindres recoins. L'endroit est chaleureux et le sourire de ses propriétaires apporte du baume au coeur. La grande salle à manger donne sur un jardin à moitié sauvage, à moitié planté de plantes d'agréments et dont la vue porte au loin. C'est un petit moment de plaisir et toujours d'étonnement. On s'y sent bien. C'est un peu de cette magie de la terre ardennaise qui vous emplit d'une certaine fierté, de cette fierté d'y être née. Mais l'habitat n'est pas français, ni belge. Et c'est un pur italien de Recoaro Terme qui a pris demeure pour faire partager sa passion et son amour pour ce pays lointain. Et cette passion, cet amour, il nous la sert à toutes les sauces, ou plutôt à toutes les pastas... seulement le week-end... la rareté fait la qualité....

[L'Assiette Rouge - Felenne]

Musique !

Publié le 06/08/2016 à 11:49 par memoscaches Tags : sourire

 

Matt Simons - Catch et release

Tibz - Ton sourire

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S'investir...

Publié le 06/08/2016 à 11:08 par memoscaches Tags : sourire monde heureux argent pouvoir

Faire des efforts, se donner la peine pour un projet ou une activité, telle est la définition de l'investissement.... ('sourire' et au diable les smileys....). Quand on s'investit - non corps et âme au risque de se perdre et de ne plus jamais revenir -, on finit par récolter des fruits bien mûrs et juteux à souhait : La reconnaissance, l'estime et le respect, non pas de tous, car on ne peut satisfaire tout le monde mais d'un certain nombre. Et ce nombre si petit soit-il, il représente un tout, il représente ce que nous sommes et le mérite est de se contenter de peu. C'est ce qui rend heureux, c'est ce qui fait qu'intérieurement, on a toujours le sourire, qui ne se voit qu'à un petit rictus de la bouche. Ces fruits qu'on cueille délicatement à la branche d'un arbre, on les voit dans les regards de certains et dans leurs comportements. Je suis toujours aussi étonnée d'observer la réaction des autres. On se met à faire quelque chose qui sorte de l'ordinaire, de notre ordinaire, des choses simples à la portée de tous, mais qui sont tellement évidentes que personne ne les fait. Et alors, ils arrivent, prenant un peu de leur temps pour vous aider et dans leurs regards, dans leurs gestes, il n'y aucun intérêt, aucune envie de gagner plus - argent ou promotion - juste pour partager un moment ensemble qui finit souvent en rires ou en discussions sans queue, ni tête. Et en fin de compte, c'est cet étonnement qui est le plus jouissif. Etre étonner, c'est un instant éphémère et aujourd’hui peu le sont. Alors savoir et pouvoir être étonné, c’est un trésor qu’il faut garder en chacun de nous et surtout, il faut le cultiver et l’entretenir pour toujours garder son regard et son âme d’enfant sur le monde et les hommes…..

 

Histoire d'eau....

Publié le 01/08/2016 à 20:45 par memoscaches Tags : belle mer histoire

 

Il y a des histoires qui naissent en si peu de temps, qu'on a parfois l'impression qu'elles n'étaient qu'un rêve. Mais un rêve éveillé, fait de sourires, de rires, d'instants complices qui resteront à jamais profondément ancrés dans notre subconscient.

Alors, c'est une histoire d'eau. Elle est tout d’abord salée et l'écume tourbillonne autour d'elle. Les rouleaux arrivent par vagues, de 7, se cassant au milieu de grands cris de joie et de bonheur. Les bouches parfois se remplissent d'eau salée, recrachée aussitôt. A force de rire, on boit la tasse pour repartir de plus belle à l'assaut des plus grosses. Et si parfois, on finit la tête dans le sable, portée par la puissance des flots, il suffit de faire une petite pause bien méritée en se dorant la pilule sur le sable trop chaud qui vous brûle la plante des pieds.

L’eau se désalinise, mais garde sa couleur un peu verdâtre ou brunâtre en fonction du temps. Quand on approche des rampes, prêt à les emprunter pour un instant futile,on se dit, malgré la petite peur qui vous susurre froidement dans l'oreille : « tu es trop vieille, tu vas te vautrer » - « vautrons-nous, au moins, on aura pris du plaisir ». Et effectivement, "on se vautre, en beauté...."

Puis, l’eau s’éclaircit et devient limpide. Elle a cette odeur un peu chlorée qui prend à la gorge, mais on finit par s’habituer. C’est en empruntant un dédale d’escalier qu’on arrive en haut du plus haut des toboggans, celui qui vous hérisse le poil lorsqu’on pénètre dans la capsule et au moment où la trappe s’ouvre, le petit frisson de peur qui s’empare de nous disparaît à notre plus grand joie pour une descente presque verticale. On aurait presque envie d’y retourner aussitôt, mais d’autres plaisirs surgissent à nos yeux émerveillés quelque soit notre âge.

Mais l’eau, c’est aussi, celui des cascades d’un très grand parc où l’image est reine, où le gigantisme est de mise. On s’en prend plein les yeux éclaboussés d’un peu de cette magie qu’est le cinéma ou simplement subjugués de ce tourbillon de couleurs.

De l’eau à volonté et partout, pour le plaisir des petits et des grands : De l’eau pour se ressaisir, pour se gonfler d’une énergie nouvelle, pour se laisser porter et surtout pour partager.

[Jard-Sur-Mer]

 

Roosevelt....

Publié le 14/07/2016 à 17:53 par memoscaches Tags : histoire coeur vie belle sourire

 

Le 32ème président des Etats-Unis... Enfin, c'est surtout un lycée... un lycée pas comme les autres, car bon nombre de personnes chères à mon coeur l'ont traversé au fil des années... mon frère, ses potes et bientôt ma grande perche d'ado. Et pour avoir vécu 4 longues années en face, peuplées de souvenirs en tout genre, on peut dire qu'elles ont marqué mon adolescence. Aujourd'hui, ces souvenirs sont remontés à la surface, flottant deci delà, comme des bouées sur lesquelles je peux m'appuyer : Des rencontres d'un soir ou de quelques mois, des rires plein la tête qui aujourd'hui me font encore sourire, des déceptions aussi, celles qui vous apprennent la vie, des heures passées à réviser ou à rêver, des belles années d'insousciance... Ah, la vie d'étudiant, c'est toute une histoire. Et en ce glorieux jour du 14 juillet, révolutionnaire, c'est un sentiment d'une très grande fierté qui s'est insinué dans tout mon être : celui d'une mère qui apprend que son ainé excauce ses rêves.... elle est pas belle la vie !!

La vie se résume à peu de choses...

Publié le 12/07/2016 à 19:10 par memoscaches Tags : vie belle pensées

Réinventer l'évidence....

 

Hang

Publié le 05/07/2016 à 23:11 par memoscaches Tags : aime musique

 

Idiophone n'est pas une injure.... c'est une famille.... puissante ! Il n'est nul besoin de paroles pour la comprendre, il n'est nul besoin de la comprendre pour l'apprécier. Il n'est nul besoin de l'apprécier, il faut juste l'écouter et le ressentir. Et pour les scientifiques ou les pseudo-scientifiques, le hang utilise la résonnance de Helmholtz. Sans paroles - sans compréhension - et donc sans jugement... De la musique à l'état pur, des sons de percussion harmonieusement mélangés basés sur une théorie scientifique. Quand on aime la science, on ne s'en prive pas...

https://www.youtube.com/watch?v=xk3BvNLeNgw

https://www.youtube.com/watch?v=747hJQNJpeg

 

Jump...

Publié le 03/07/2016 à 13:29 par memoscaches Tags : monde amour coeur

 

L'été est là... enfin presque, si ce n'est en vrai, il l'est dans notre coeur.... Et qui dit été, dit vacances... Ah, les vacances, que d'impatience.... Cet été, comme l'an dernier sera sous le signe du Jump. Une fois qu'on a jumpé, on ne peut plus s'en passer. Et tout le monde jumpe, en fonction de son niveau. La sensation : amusante pour les plus jeunes, extrème pour les plus grands... Et si le coeur fait boum boum et bien tant mieux ! Car c'est ça, les vacances, un moment tous ensemble réunis pour beaucoup de plaisir et d'amour, pour découvrir ce que durant l'année, nous n'avons pas le loisir de faire, pour partager quelques moments inoubliables....Et qui resteront à jamais graver dans la mémoire collective d'une simple famille... Enjoy Life !!!

 

Bouclais-je !

Publié le 02/07/2016 à 11:39 par memoscaches Tags : pouvoir art

 

Je me suis mise aux boucles.... et c'est rudement difficile ! J'ai beau les tortiller dans tous les sens, elles ne se mettent jamais comme je le voudrais. J'en prends une, je la tourne et la retourne dans tous les sens et quand je vois le résultat, je me dis que c'est loin d'être parfait et qu'il y a encore beaucoup de boulot pour arriver à lui donner l'aspect voulu. C'est comme ça avec les boucles, elles ne font pas toujours ce qu'on leur demande. Alors on en crée une autre, plus jolie, plus dynamique, en se disant que cette fois-ci, on va réussir. Et au bout d'une paire d'heures d'acharnement, on finit par laisser tomber - jusqu'à la prochaine fois - et on la relègue dans un coin pour pouvoir la manipuler un peu plus tard. Est-ce de l'art ? Est-ce un passe-temps ? A dire vrai je n'en ai aucune idée. End Sub.

Ma cuisine à moi....

Publié le 02/07/2016 à 11:38 par memoscaches Tags : roman paris aime monde bonne chez fond filleafrique neige rouge fleurs vie

 

Des recettes de ma grand-mère, de mon grand-père, de ma mère et de mon père… et pis les miennes aussi…

La gourmandise est un très vilain défaut et j’adore les défauts….

Du miel dans ma cuisine....

A la propolis, à la gelée royale, au chataignier, de sapin, de montagne... le miel a depuis toujours envahi ma cuisine, parfois avec les fourmis qui vont avec (trop friandes de ce nectar).... et les recettes à base de miel foisonnent sur le net. Pourtant tout ne se marie pas avec lui (du point de vue de mon goût !). Mais certains mariages ajoutent du piment à notre vie. Comme les tartines de chèvre chaudes salées, poivrées, parsemées d'un peu de thym et de miel qu'on accompagne avec une roquette à la vinaigrette de miel citronné (huile olive, vinaigre, moutarde, miel et citron). C'est de la cuisine de bistrot, la vrai. Ou encore des tagliatelles fraîches avec une tranche de foie gras sautée à la poèle avec une sauce à base de tomates et d'oignons coupés en petits morceaux, un peu de miel et de vinaigre balsamique pour déglacer le tout...

Le vol au vent revisité

En principe au poulet et étant donné que je n’en avais point, j’ai décidé de me lancer dans le steak de porc. Pourquoi pas ? La base : coupé en tous petits morceaux, je l’ai fait revenir avec des oignons frais et des champignons frais dans de l’huile d’olive. Puis, j’ai préparé la sauce blanche et non la béchamel (je n’en raffole pas…) avec un jaune d’œuf et un peu de paprika rouge (pour donner du goût au porc qui n’en a  pas). Le tout est inséré délicatement dans des bouchées et hop, au four. A servir avec des frites fraiches et une laitue fraiche parsemée de ciboulette. Un régal du dimanche soir… et fait à la va vite.

Le soufflé au ris de veau

On change de gamme… c’est une recette de ma mère que je reproduis fidèlement.

Tout d’abord, la préparation du ris de veau : un ris de veau mal cuit, c’est de la me…e haut de gamme. Et s’il m’est déjà arrivé d’en jouir de plaisir dans des restaurants chics, il m’est également arrivé de voir rouge sur un ris mal cuit  a minima à 30 € le plat ; comme quoi, même dans des restos gastros, il arrive qu’on mange de la m…e. Donc le faire cuire correctement et le dépiauter, surtout. Puis on l’accommode d’une sauce blanche dans laquelle on a incorporé les blancs battus en neige avec des champignons (ce qu’on veut) revenus cette fois-ci au beurre avec des petits oignons toujours frais. On enfourne dans un four très chaud et on déguste avec une salade….(celle qu’on veut).

Les anguilles à la poêle

Tout d’abord, il faut trouver les anguilles, c’est le plus dur… tout en sachant que c’est quand même l’un des poissons le plus pollué par chez nous, car vivant dans la vase, il est imbibé de métaux lourds de la gueule au trou de balle. Congelé, c’est très bien aussi, en essayant tout de même de connaître son origine…. (Sait-on jamais qu’elles aient été pêchées au pied d’une industrie de métaux qui ne rejette aucun déchet, bien entendu, puisqu’elles sont toutes iso14001… Toutes ISO, mais il leur arrive parfois de faire un p’tit écart, comme nous tous, d’ailleurs… Mais non, aucune industrie digne de ce nom n’irait rejeter des déchets nocifs pour notre santé… Cela se saurait… Mais revenons à nos anguilles. C’est tout bête, il suffit de les nettoyer si ce n’est déjà fait… En grattant, on arriverait presque à ôter les métaux, mais à trop gratter, il finirait par ne rester plus rien. Puis on les fait sauter joyeusement au beurre avec les aromates que l’on aime (ail, persil pour ma part).

Les gnocchis de pommes de terre...

La recette familiale par excellence et c'est mon papa qui me l'a apprise. On prend des pommes de terre, normal et on les fait cuire avec la peau (bon, mes cousines d'Argentine et de la Réunion ajoute un oeuf pour les lier, chacun sa technique) pour garder l'amidon, car un gnocchi qui ne colle pas, n'est pas un gnocchi. C'est le secret... On les écrase en purée et on les mélange à la farine qu'on malaxe pour donner une consistance ni trop molle, ni trop dure... Puis on les coupe en boudin et on les passe à la fourchette pour fermer la pate. On met de l'eau à bouillir et on les jette dedans puis on attend qu'ils remontent. Et c'est tout. Franchement, y'a pas plus simple. A faire avec une bolognèse monstrueuse, car plus il y a du jus et meilleur c'est !

Les pastas...

On reste un peu dans l'Italie, dont une bonne partie de ma famille est originaire, du Nord, au pied des Dolomites (une autre de mes passions, la rando de montagne, car là-haut, on se sent toute petite face aux gigantesques pics). Encore un autre secret : la machine italienne à faire des pates et un bon coup de manivelle (ou du poignet plutôt, tout est dans le poignet et ceci dans de nombreux domaines...). Et si vous les ratez, alors, c'est que vous êtes la reine des manches... à balai ! Parce que des pates à la machine, cela ne se rate pas. Dans ce cas précis, confiez votre tablier à votre mari, il s'en sortira très bien tout seul. Chez nous, ce n'est pas seulement la madre qui fait les pates, mais également le padre - dixit le Parrain, les affranchis ou Donnie Brasco (LES films de gangster). Ah oui, il faut des oeufs et de la farine également...

La sauce bolognèse

En Italie, il y a une recette pour chaque famille et parfois même, le style diverge d'une mère à sa fille. La bolognèse, c'est la base de l'Italie profonde. On la sert à toutes les sauces... : avec des pates, de la polenta, du riz, des pommes de terre... En premier, il faut choisir la viande et un mélange de porc, veau et boeuf fait très bien l'affaire. Dans une casserole, on fait revenir - pour ma part - les oignons, le céléri en branche dans de l'huile .... d'olive. Puis on fait revenir la viande. On ajoute les tomates pelées, 2 ou 3 cubes de bouillons, sel et poivre et on laisse cuire longtemps, très longtemps, en ajoutant de l'eau en milieu de cuisson. On peut ajouter des aromates à sa convenance, mais la recette de base est simple, parce que la cuisine doit rester simple. C'est là qu'elle est la meilleure...

Les gambas au whisky

Bon,j'aime pas le whisky, mais pour des gambas, prévoir une p'tite bouteille dans le fin fond d'une armoire. Cette recette, je l'ai piquée à un p'tit resto du p'tit Chooz qui aujourd'hui n'existe plus. J'avais 11 ans. Cela date.... A l'époque, ils faisaient les langoutisnes au whisky, mais je l'ai adapté aux gambas plus facile à trouver et beaucoup moins allergènes (ah les allergies, celle aux langoustines est terrible...). On fait revenir les gambas dans un peu d'huile d'olive avec de l'ail et de l'estragon. Puis on ajoute du concentré de tomates. On fait chauffer le whisky dans une casserole en cuivre (pourquoi en cuivre ? parce que c'est classe). On enflamme et on arrose les gambas avec. Une fois, le feu éteint, on ajoute la crème fraiche et on déguste avec une salade et surtout de la baguette fraiche. Le top du top....

Les gambas au pastis

Idem que pour le whisky, mais en pire. On fait chauffer le four, on met les gambas au four et on arrose avec du pastis enflammé. En apéro... Une recette du sud d'une tante super cool !

Le tarsbane

Direction le maghreb...le tarsbane, c'est quoi ? Ce sont des boulettes de semoule fine de blé qui cuisent dans un bouillon. Une autre recette familiale qui provient de la famille de mon fils. Tout d'abord, il faut préparer le bouillon, un classique qu'on retrouve dans le couscous. En premier, il faut faire revenir la viande à l'huile.... d'olive.... Puis on enlève et on fait revenir la base : oignons, céléri en branche, tomates pelées. On remet la viande puis l'eau. Et là on met les épices : ras el hanout, cumin, piment doux et surtout pleins de menthe et de coriandre et on laisse mijoter la viande tendrement (boeuf, agneau, poulet, tout ce qu'on veut). On passe alors à la préparation des boulettes. Dans un grand récipient, on met la semoule, le sel, un peu d'eau et de l'huile....de tournesol, des oignons et des tomates coupées en tous petits morceaux et surtout la menthe et la coriandre ! et on malaxe longtemps pour casser les p'tites graines. On en fait des boulettes pas trop grosses qu'on jette dans le bouillon pour une heure de cuisson au moins. Et bon appétit !

Des bricks à l'infini

Brick viande - Brick thon : même recette --> La farce : Viande ou thon + un peu d'huile, saler et poivrer, ail, persil, ras el hanout et cumin. On enveloppe d'une brick et à la poêle.

Brick pomme de terre : Purée - oeufs durs - ail - persil (ou ciboulette ou ce qu'on aime) - saler et poivrer

Brick Végé : Préparer une ratatouille - On retire l'eau et on la brick...

Felfel

Toujours l'Afrique du Nord.... Un de mes préférés.... On fait griller des poivrons verts et des piments forts au four, puis on les met dans un sac plastique pour qu'ils ramolissent et on enlève la peau. On les écrase, on ajoute des tomates pelées également écrasées et on fait revenir à la poêle quelques instants. D'apparence simple, ce plat est un régal avec du pain frais ou du pain kabyle...

Tajine à toutes les sauces...

Le Tajine, c'est surtout et avant tout un plat, car sans Tajine, pas de tajine... Les traditionnels, poulet-olive-citron ou agneau-pruneaux, ceux qu'on nous propose dans certains restos, ne sont pas toujours à la hauteur... En effet, quel restaurateur va vous proposer un véritable Tajine qui demande 1h30 à 2h de cuisson ? On se le demande... Une cuisson longue à l'étouffée, c'est la pierre angulaire d'un bon tajine ! Et pour faire simple, on met ce qu'on veut, tous les restes en gros : viandes, féculents et légumes avec des épices (safran pour le poulet, cumin, curcuma, ras el hanout pour l'agneau et pour le boeuf, c'est en fonction des goûts). La cuisson peut se faire sur le feu ou au four, mais elle débute toujours sur le feu, afin de faire dorer tout ce p'tit beau monde, avant de le déguster....

Le liban

Le boulghour est un blé concassé très dur et en salade, c'est un délice. Il faut tout d'abord le faire cuire (voir la cuisson sur la boite). Une fois cuit, on le mélange avec des oignons et tomates coupées en petits morceaux et énormément de persil PLAT. C'est une salade très rafraichissante à consommer en été.

Un BBQ sans salade !

Obsolètes les salades mélangées (plus on mélange, moins c'est bon...) de riz, de pâtes, de semoule.... et séparons les aliments pour les apprécier à leur juste valeur :

1- Le maïs : Acheté frais (et non sous plastique, car il est déja cuit), on le badigeonne de sel et de beurre et on le fait griller au BBQ ou si on n' a pas de maÏs, alors on peut faire une polenta (1/3 eau et 2/3 de lait pour l'onctuosité). Lorsqu'elle est cuite, on la coupe en fines lamelles qu'on sale et poivre et qu'on peint à l'huile d'olive. A griller sur le BBQ.

2 - Les champignons de Paris : en prendre des gros et on incorpore dans le chapeau du beurre à l'ail et au persil, puis on le cuit au BBQ.

3 - Les poivrons : coupés en lamelles, un peu d'huile d'olive et d'aromates et on les fait revenir au BBQ avec des oignons.

4 - Les tomates : sur une tartine, un peu d'herbes de provence, un peu de chèvre et hop au barbecue.

5 - Les pommes de terre : à cuire à la braise, sans les avoir fait cuire au préalable à l'eau, car c'est une aberration. Le goût est complétement différent et la chair n'a pas de saveur.

5 - Une salade verte pour accompagnée le tout.

Un peu d'Asie au rendez-vous...

Rouleaux de printemps

Ah le rouleau de printemps.... Le mien est constitué de scampis, salade, vermicelle chinois, menthe et coriandre enveloppé d'une galette de riz et à déguster avec LA sauce  Sweet chilli sauce. C'est divin.....

Poulet aux amandes grillées

Une p'tite recette que j'ai apprise quand j'avais 18 ans. On fait revenir des amandes dans une poêle sans les faire cramer. Dans une autre poêle, on prépare le poulet avec des oignons, un peu de sauce de soja et on sert le tout avec un riz bien collant cuit au vinaigre de riz (comme pour les sushis)

Poulet ou gambas au curry rouge ou vert et au lait de coco

Au gambas ou au poulet, c'est pareil. La base, faire revenir des oignons, des poivrons, un peu de sauce de soja, le poulet et on ajoute de la pâte de curry rouge ou vert et en dernier le lait de coco. Avec du riz, toujours collant....

 

Le clap-main

Publié le 26/06/2016 à 11:09 par memoscaches Tags : vie merci moi monde sport

 

J’ai découvert le clap-main. Oh mon dieu… Merci le foot qui n’est point ma tasse de thé et j’aime le thé. Le foot (non pas le sport d’équipe ou la soule médiévale dont il est issu, mais plutôt la médiatisation à l’extrême et ses conséquences), pour moi est à l’opposé de tout ce qui me concerne et franchement, les entendre  klaxonner à tout bout de champ, à chaque victoire de telle ou telle équipe me remplit d’exaspération, surtout à 11h du soir, les jours de semaine où je suis tranquillement dans les bras de Morphée, à rêver à un monde meilleur…..

Mais soit, le foot est populaire… Quant aux clap-main (avec ou sans s, je ne sais pas, car de toute manière, je ne suis pas sûr de le retrouver dans le dictionnaire), deux pour être précis, j’ai eu le grand bonheur de les entendre clapper pendant un certain temps et le terme certain signifie pour moi, que ma patience a été largement dépassée et j’ai en conséquence posé les consignes nécessaires contre leurs utilisations intempestives, tout du moins dans la maison.

Mais, aux éclats de rires que j’ai entendus et aux regards brillants que j’ai pu observés, je ne regrette pas leur acquisition. Et je me suis fait l’immense plaisir de les essayer afin de connaître la sensation éprouvée – dans la vie, il faut tester pour comprendre – au moment où mes chers chérubins étaient occupés à se remplir les neurones d’images colorées. J’ai eu droit à  un « Arrêtes maman ! » retentissant ; comme quoi, même eux, cela les a saoulé, comme ils m’avaient saoulée quelques instants au préalable….

 

1-2-3-4-5-6-7- Soleil !

Publié le 25/06/2016 à 22:39 par memscaches

 

C'était il y a longtemps, enfin longtemps si on veut. Tout dépend du sens que l'on donne au mot longtemps. 10 ans, 15 ans, plus ou moins. Avec les années, on oublie parfois que la mémoire nous joue des tours et que le temps ne s'estime réellement qu'avec des faits marquants.

Je suis passée devant par hasard et mon regard a tout de suite été attiré. Je me suis donc arrêtée, devant cette porte si lumineuse que je suis restée là en me posant la question : vais-je la franchir ? On est souvent attiré par ce qui brille et puis lorsqu’on se met à creuser, on se rend compte alors que la seule chose qui était vraiment intéressante, c’était l’emballage. Et les portes ne sont pas les seules concernées.

Je me suis approchée tout doucement, j’ai monté les marches et j’ai tourné la poignée, m’attendant à être une nouvelle fois déçue. Lorsque la porte s’est ouverte en grinçant de tous ces gonds, un vent de folie s’est levé, m’emportant avec lui très loin, plus loin que je n’avais été depuis très, très longtemps ! A l’intérieur, c’était immense, tellement grand que je me suis dit qu’il me faudrait des lustres pour la visiter entièrement. J’avais envie de tout voir d’un coup, d’avoir cette approche systémique sans avoir à chercher et sans avoir à attendre.

Mais j’ai pris mon temps, enfin j’ai essayé. J’ai visité toutes les pièces une par une, au nombre de 7 et ce n’était pas la bénédiction de dieu donnée et reçue…. Dans chacune de ces pièces, j’ai découvert une infinité de détails rocambolesques, mais si vivants, que je quittais chaque pièce avec regret. Mes yeux survolaient chaque ligne, mon imagination s’enflammait et plus rien n’existait que cette sensation d’être autre part, d’avoir voyagé tellement loin que lorsque je fermais une des portes, le retour à la réalité était fade et sans attrait.

Aujourd’hui, j’y suis retournée, je l’avais retrouvée, cette porte si lumineuse qui m’avait fait tant rêvé et je l’ai rouverte une fois de plus, avec toujours autant de plaisir : La saga des 7 soleils, un space opéra…… un très bon livre en 7 volumes, environ 4 000 pages… de quoi tenir quelques jours…

 

Collier de vie....

Publié le 24/06/2016 à 22:19 par memoscaches Tags : fond monde

 

J'ai enfilé une perle après l'autre sur un fil noir. La première était de la couleur du métal, celui qui nous imprègne, celui dans lequel nous avons été créés. Il brille au soleil et se ternit lorsqu'on l'enferme.  Il est malléable à souhait, mais au fond de lui, il est dur comme l'acier. Il n'a pas de nom à vrai dire, car c'est un alliage composé de tous les métaux du monde.

Puis, je lui ai associé une perle d'un blanc tellement éclatant que le contraste en ait saisissant. Le mélange nous va si bien. Elle est légèrement nacrée avec des reflets irisés. Cette larme d'Aphrodite possède le don de changer de couleur en fonction de la manière dont on la regarde. Elle est différente avec chaque regard et chaque regard la voie à sa manière.

Et j’ai choisi l’ambre pour accompagner ces deux bijoux, sans doute parce qu’elle est tellement ancienne qu’elle représente tout notre univers. Y plonger, c’est se noyer, car l’or attire, mais l’or détruit. La beauté de cette pierre réside dans son imperfection, dans ces minuscules inclusions qui la rende si précieuse.

J’aurai pu choisir des ‘précieuses’, mais j’ai choisi la simplicité, car seules les choses simples valent la peine qu’on s’y attache.

 

Goutte à goutte

Publié le 23/06/2016 à 23:28 par memoscaches Tags : jardin vie

J'ai vu une goutte, une simple goutte. Elle est tombée du ciel et s'est écrasée dans le caniveau. J'aurai souhaité qu'elle tombe dans l'herbe, à l'endroit où on a besoin d'elle. J'aurai voulu qu'elle tombe dans un jardin, pour donner un peu de vie à celles qui mourraient de soif. Mais elle n'est pas allée, là où elle aurait du se rendre. Je l'ai suivi du regard. Elle a suivi son chemin qui la poussait .... vers l'égout et elle a disparu, tombant sans fin. J'imagine qu'elle a continué à voguer au milieu des canalisations. Je me demande où elle a fini sa route. Je me demande si elle a rejoint l'océan, se faufilant entre les poissons, emportée par le courant et finissant un jour ou l'autre par retrouver un nuage si cotonneux qu'elle décida d'y rester.

 

L'image...

Publié le 17/06/2016 à 17:53 par memoscaches Tags : image mer société moi enfants

 

L'image dans toute sa splendeur.... Du latin imago, elle désignait autrefois des masques mortuaires... pas très reluisante comme définition ! Quand on pense à image, qu'imagine-ton ? Quelle image nous vient à l'esprit ? Un coucher de soleil sur une mer d'huile... vu le temps actuel, cela serait le rêve. Celle qui me vient à l'esprit, c'est l'image sociale.... cette impression forgée par un groupe de personnes limité ou non. Quelle image montrons-nous aux autres ? Quelle image de notre groupe social donnons-nous ?

Elle est si importante dans notre société actuelle et à juste titre. Elle symbolise ce que nous sommes et comment nous sommes avec les autres. Et même s'il arrive qu'on se dise : Après tout, je m'en fous de ce que pensent les autres de moi ; on a toujours une partie de notre conscience qui nous susurre à l'oreille : attention, ce que tu montres, c'est ce que les autres vont penser de toi. Alors autant montrer le meilleur de nous-même, même si parfois c'est difficile, même si parfois c'est impossible. Car ce que nous montrons va rejaillir sur notre entourage, nos enfants, notre famille, nos collègues.... alors autant montrer ce qui est beau et gardons ou du moins essayons de garder notre côté sombre enfoui en nous....

La TV !

Publié le 12/06/2016 à 23:38 par memoscaches Tags : monde moi divers internet histoire air vie enfantssport écran belle

 

Je ne regarde pas la TV, ou plutôt, je ne regarde pas les chaînes de TV. C'est sans doute pour cela que je suis toujours la dernière à savoir ce qui se passe dans le monde. De toute manière, le monde tourne très bien sans moi, alors.... Sauf que quand j'arrive au boulot et qu'on parle du dernier fait divers, je me sens tarte, voir même très tarte. Alors, le soir venu, je me précipite sur internet pour savoir de quoi il s'agit ; histoire d'avoir l'air moins con le lendemain.

Mais bon, dans la vie, il faut choisir entre travailler, s'occuper des enfants, jardiner, débroussailler, cuisiner, lire, écrire, dessiner par moment, gratter un p'tit air parfois, se balader, apprendre, faire un peu de sport... et regarder la TV. Je n'ai qu'un cerveau et je trouve que m'abrutir devant un écran rempli pour la plupart du temps de conneries, à choisir, je préfère vivre...

Alors, je choisis ce que je veux voir : Les films --> les cultes, ceux sans prétention, ceux qui vous font rêver ou tout simplement réfléchir et là, le choix est tellement vaste qu'une vie n'y suffirait pas.

Mais il y a les incontournables : Scorcese, Coppola, R. Scott, Tarentino, Spielberg, Eastwood, Burton, De Palma, Léone, Disney, Ford... en noir et blanc ou en couleur, bourrés d'effets spéciaux ou au naturel... la magie fait toujours effet à n'importe quel moment. Sans doute la plus belle invention qu'on est mis au point : celle de nous faire rêver...